L’anecdote prête à sourire mais démontre combien, au fond, Carla Bruni a dû batailler pour s’imposer comme la nouvelle Mme Sarkozy.
Interrogée par le magazine Psychologies, Carla Bruni est amenée à évoquer sa vie auprès de Nicolas Sarkozy, son expérience à l’Elysée ou encore son rapport au corps et à la maternité.Des souvenirs qu’elle égrène avec une pointe de nostalgie et beaucoup de plaisir jusqu’à ce que ce que lui revienne en mémoire un micro évènement qu’elle n’a visiblement toujours pas digéré. « Le lapsus que je n’oublierai jamais : celui d’un ami de mon beau-fils, révèle-t-elle. Nous étions le 5 mai 2012, à la veille des résultats de l’élection présidentielle, mon mari était dans un bureau de l’Elysée, avec son plus jeune fils et un de ses proches amis. Quand j’entre dans la pièce, celui-ci m’accueille : "Bonjour Cécilia !" Ecarlate, il bredouille et s’excuse. »
Une erreur dont le pauvre jeune homme ne peut même pas revendiquer la primeur puisqu’en octobre 2008, le Monde avait écrit « Cécilia Bruni-Sarkozy » dans un article. « Il s'agissait évidemment de l'épouse du chef de l'Etat, Carla Bruni-Sarkozy. A nos lecteurs, à M. et à Mme Sarkozy, à Mme Cécilia Attias, nous présentons nos plus sincères excuses », avait publié, penaud, le quotidien quelques jours plus tard.
Si Carla Bruni semble garder de la rancune envers l’ami de Louis, quel genre de sentiments doit elle éprouver envers Claire Chazal qui, devant des millions de téléspectateurs le 25 septembre 2009 avait commenté lors du JT du 20 h de TF1 l’apparition à l’écran de Carla Bruni par un clair : « Nous voyons ici Cécilia… pardon, Carla Bruni-Sarkozy ! » Décidément, quand ça ne veut pas…
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