C’est un jeune homme en colère qui a donné une interview au « Vanity Fair » italien sorti mercredi dernier. Le fils d’Alain Delon, Alain-Fabien, 18 ans, ne mâche pas ses mots quand on lui demande quels rapports il entretient avec sa famille. « Une famille ? Plus qu’une famille, mes parents ont toujours été mes pires ennemis. Je n’ai jamais eu une vie normale, je ne l’aurai jamais. Depuis que je suis majeur, je cherche par tous les moyens à me refaire une vie loin d’eux. » Des propos graves lancés par un adolescent emporté par la colère ? Le jeune homme va plus loin : « Je n’ai pas de domicile, mon compte en banque est vide. Et pourtant je suis le fils de la plus grande star du cinéma français : un homme riche qui m’a abandonné. »
Un père violentLa colère d’Alain-Fabien ne s’arrête pas là. Plus loin dans l’interview, il accuse son père de violences envers sa mère, Rosalie van Breemen. « Ma mère a connu la violence de la part de mon père, ses huit côtes cassées et le nez fracturé deux fois, mais elle le méritait. A chaque fois que je voyais la violence s’acharner sur elle, je pensais que Dieu était en train de la punir pour sa méchanceté. Par ailleurs, Alain Delon n’a pas été violent qu’avec ma mère, mon frère Anthony et moi savions très bien jusqu’où pouvait aller sa cruauté. »
« J’ai été dealer »
Fils cadet d’Alain Delon et Roselie van Breemen, Alain-Fabien revient sur une jeunesse déjà bien mouvementée. Selon ses propres mots : « J’ai cherché à faire plein de choses : j’ai été dealer, j’ai lavé des autos, j’ai été maçon. Ça n’a pas marché. Aujourd’hui, j’ai beaucoup de colère, mais je sens que je peux en faire quelque chose de positif et l’utiliser pour jouer et transmettre des émotions. Je pense que Yann Gonzalez a ressenti la même chose quand il m’a vu lors du casting : il m’a sélectionné en une minute. » Aujourd’hui,(...) Lire la suite sur Elle.fr
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