C’est une fois de plus à ses quelques 73000 followers qu’Audrey Pulvar a réservé ses premiers commentaires sur sa séparation avec Arnaud Montebourg. La journaliste s’est sentie obligée de répondre aux nombreuses questions que posaient sa démarche, son SMS à l’AFP, mais aussi son interview qui paraît aujourd’hui dans GQ.
Recueillis avant l’annonce de sa rupture, ses propos sont bien évidemment en décalage avec la réalité de sa situation aujourd’hui. Celle qui se qualifie elle-même d’ «emmerdeuse» expliquait «qu'être la compagne d'Arnaud Montebourg m'empêchait de faire mon métier de journaliste neutre. Pas de mon fait, mais parce qu'aucun employeur ne voulait plus me faire crédit» avant de préciser «Je suis dans un moment de ma vie où tout cela me semble plutôt flou».Alors que tous les observateurs attentifs de la vie politique et médiatique se penchaient sur une explication de texte et un décryptage entre les lignes, Audrey Pulvar réagit sur son compte Twitter en criant: «On peut arrêter l'onanisme intellectuel? L'interview à GQ date de près d'1 mois. La phrase mise en exergue concernait ma situation d'il y a 2 ans». Quant à son mode de communication (un SMS à l’AFP), la journaliste confie que c’était «pour ne plus m'entendre décrite ou interviewée comme la femme de. Pour décourager les paparazzis collés à mes basques». Et à ceux qui lui font remarquer que son histoire avec le ministre du Redressement productif reste d’ordre privé et ne regarde personne, elle répond avec ironie: «C’est vrai que c'est un sujet dont absolument personne ne parlait depuis 3 ans et que tout le monde me laissait vivre ma vie!».
Pour des propos plus complets et officiels, il faudra attendre l’édition du Point à paraître demain. Audrey Pulvar déclare, toujours sur Twitter: «Le seul commentaire que j'aie fait sur (...)
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