L’hyper… actif Nicolas Sarkozy encaissera-t-il le choc, échappera-t-il à la dépression qui a frappé nombre de présidents sortants avant lui, tentera-t-il de revenir à terme dans le jeu politique? A l’UMP, les spéculations allaient bon train la semaine dernière quant à l’avenir de l’ex-chef de l’Etat, redevenu avocat. Ces questions ont aussi certainement occupé les pensées de l’intéressé.
Son épouse, Carla, s'interroge elle aussi, mezzo voce, mais chez elle, point de peur du vide. N'a-t-elle pas déjà plusieurs fois changé de cap ? A 29 ans, alors qu'elle quittait les podiums, sa reconversion dans la musique n'était pas à l'ordre du jour. A trente-neuf ans, après plus de deux millions d'albums vendus, alors qu’elle rencontrait son futur époux, la fonction de première dame n'était pas non plus son horizon.
Femme caméléon, la chanteuse s'adapte. Elle a voulu croire jusqu'au bout à la victoire de son mari. Elle qui n'avait jamais fréquenté les travées d'un meeting et qui n'avait pas la nationalité française avant d'épouser le Pésident, a chanté la Marseillaise avec ferveur dans toutes les grands-messes sarkozystes. Suggérant même au staff du candidat que l’hymne soit interprété a capella pour donner plus de force encore au souffle de son champion. Pendant des jours, elle n’a pas quitté son bracelet de campagne bleu roi ciglé «Sarkozy 2012».
"Une bataille, ça se gagne à deux", a souvent répété Nicolas Sarkozy. Alors, Carla ne l'a jamais lâché. S'imposant même, pour mieux soutenir son homme, d’être moins fusionnelle avec sa petite Giulia, qu'elle a arrêté d'allaiter au printemps. Après un début de (...)
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Son épouse, Carla, s'interroge elle aussi, mezzo voce, mais chez elle, point de peur du vide. N'a-t-elle pas déjà plusieurs fois changé de cap ? A 29 ans, alors qu'elle quittait les podiums, sa reconversion dans la musique n'était pas à l'ordre du jour. A trente-neuf ans, après plus de deux millions d'albums vendus, alors qu’elle rencontrait son futur époux, la fonction de première dame n'était pas non plus son horizon.
Femme caméléon, la chanteuse s'adapte. Elle a voulu croire jusqu'au bout à la victoire de son mari. Elle qui n'avait jamais fréquenté les travées d'un meeting et qui n'avait pas la nationalité française avant d'épouser le Pésident, a chanté la Marseillaise avec ferveur dans toutes les grands-messes sarkozystes. Suggérant même au staff du candidat que l’hymne soit interprété a capella pour donner plus de force encore au souffle de son champion. Pendant des jours, elle n’a pas quitté son bracelet de campagne bleu roi ciglé «Sarkozy 2012».
"Une bataille, ça se gagne à deux", a souvent répété Nicolas Sarkozy. Alors, Carla ne l'a jamais lâché. S'imposant même, pour mieux soutenir son homme, d’être moins fusionnelle avec sa petite Giulia, qu'elle a arrêté d'allaiter au printemps. Après un début de (...)
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