Si Carla Bruni a refusé de « faire partie de la meute » et de s’exprimer sur l’affaire Hollande-Gayet, comme elle l’a expliqué au journal allemand Welt am sonntag, Audrey Pulvar, elle, ne se prive pas. Dans une interview accordée au quotidien France Antilles, la chroniqueuse du Grand 8 reconnaît qu’ « un président ou un ministre a le droit d’avoir une vie privée » : « Mais s’il s’attend à ce que personne ne la viole, c’est qu’il vit au pays de Oui-Oui. Face à cela, soit il prend les mesures nécessaires pour ne pas se faire attraper au petit matin, soit il en subit les conséquences. Mais il est clair qu’aujourd’hui, à ce niveau de notoriété, on ne peut pas totalement séparer vie privée et vie publique. »
D’autant plus que le président de la République s’est toujours largement servi des médias pour afficher ses amours. On se souvient de photos dans Paris Match avec Ségolène Royal et leurs enfants et, plus récemment, d’une couverture de Gala en 2010, François Hollande présentait Valérie Trierweiler comme étant « la femme de sa vie ». « C’est à double tranchant. On ne peut pas s’afficher avec sa femme […] et s’insurger ensuite parce que des photos volées révèlent l’existence d’une maîtresse », a assuré Audrey Pulvar.
Mais la journaliste pense avant tout à Valérie Trierweiler, sortie samedi après-midi de la Pitié-Salpêtrière où elle est restée hospitalisée neuf jours. « Cette affaire est sans doute horripilante pour François Hollande, a-t-elle reconnu, mais elle doit surtout représenter un choc extrêmement violent pour Valérie Trierweiler. » La première dame, partie se reposer à La Lanterne, l’une des résidences du président de la République à Versailles, « va mieux », a assuré aujourd’hui François Hollande.
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