jeudi 7 mars 2013

Julien Courbet : Ses messages lui valent une lettre de licenciement

Julien Courbet va peut-être avoir besoin de ses ex-acolytes avocats de Sans aucun doute. L’animateur vient de se faire débarquer de France Télévisions suite à une série de messages qu’il a postés sur Twitter.
Hier il faisait la promotion de France 2 en posant habillé en femme, ce matin, Julien Courbet et purement et simplement viré de la chaîne. En cause, des tweets de l’animateur jugés « inacceptables » par la direction de France 2.
Il faut dire que ce dernier s’était dernièrement lâché sur son compte Twitter en apprenant début mars l’arrêt de son jeu « Seriez-vous un bon expert ? ». « On faisait plus que les deux émissions qui suivent (On n’demande qu’à en rire et Mot de passe NDLR), mais ils doivent préférer les jeux américains », avait-il par exemple ironisé.
Découvrant qu la chaîne allait diffuser un téléfilm à la place, il avait ensuite plaisanté : « Bonne nouvelle pour la création française, va y avoir un feuilleton allemand à la place ! »
Un humour qui n’a pas plu du tout à ses employeurs qui ont choisi de le licencier. Philippe Vilamitjana, directeur de l’antenne et des programmes de France 2 s’en explique ce matin dans le Parisien. « J’ai dit à Julien qu’il resterait un visage de France 2, mais ses propos sont inacceptables et rendent impossible toute collaboration. Les coups de gueule ne servent pas à grand chose, si ce n’est à interrompre une éventuelle collaboration quand la ligne blanche est franchie. »
Il confie également que le jeu de Julien Courbet réalisait une part d’audience de 9,7% depuis janvier alors que l’animateur s’était engagé par contrat sur… 10%. « Sur cette cible, c’est le programme le moins performant en journée, confie le directeur. Notre budget est limité, le jeu doit donc être arrêté. La série allemande le Tourbillon de l’amour le remplacera. »
Ne nous inquiétons toutefois pas trop pour l’avenir professionnel de Julien Courbet, l’animateur a déjà été contacté par plusieurs sociétés et il en est le premier surpris. « C’est pas (...)
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