La polémique est partie d'un article paru dans le magazine
Technikart, puis, l'information a été très rapidement relayée via les
réseaux sociaux : les lunettes d'Audrey
Pulvar auraient coûté 12.000 euros."C'est le moment où il faut dire
les choses telles qu'elles se présentent : 12.000 euros la paire de lunette pour
une journaliste de gauche, compagne d'un ministre socialiste (...) ça la fiche
mal", a réagi Bruno-Roger-Petit, dans un billet publié le 4 octobre dernier sur « Le Plus »
du Nouvel Observateur. Des propos auxquels la journaliste de 40 ans,
directrice des Inrockuptibles, s'est empressée de répondre. Le même
jour, sur son compte Twitter,
elle écrit : "Mes lunettes n'ont pas coûté 12.000 euros, c'est du grand
n'importe quoi. Il ne faut pas croire tout ce que vous lisez !".
Selon Technikart, la compagne d'Arnaud Montebourg,
ministre du redressement productif, aurait craqué pour un modèle de la maison
Bonnet, un artisan lunetier français, l'un des plus réputés au monde, qui a
compté, notamment, parmi ses clients Yves Saint Laurent ou les Onassis. Toujours
sur son compte Twitter, la journaliste, qui travaille désormais comme
chroniqueuse dans la nouvelle émission de Laurence
Ferrari sur D8, déclarait au début du mois : "Vous savez quoi ? Je
fais ce que je veux de l'argent que je gagne".
Avant leur prix, c'est le design de ces lunettes
qui faisait polémique
Mais les lunettes en écaille de tortue d'Audrey Pulvar avaient
déjà fait jaser. Souvenez-vous, c'était début 2010, au moment où la journaliste
changeait de look et adoptait une monture assez voyante. S'en était suivi une
vague de critiques face à ce nouveau style, une page Facebook "Contre les
lunettes moches d'Audrey Pulvar" avait même été créée. A l époque, celle qui
travaillait pour I-Télé avait déclaré avec beaucoup d'humour : "Si il y a un
million d'adhérents (...) je m'engage à changer de lunettes". Deux ans après, et
avec la naissance de cette nouvelle polémique, peut-être le fera t'elle...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire