Evoquant cette biographie ("Eleanor Roosevelt. First Lady et
rebelle", éditions Tallandier) signée Claude-Catherine Kiejman, "qui tombe
à pic", selon son expression, la compagne de François
Hollande explique que l'auteur "s'attache également à décrypter
en quoi le rôle de cette First Lady peu ordinaire fut indispensable à son
mari". Eleanor Roosevelt renonce à ses activités politiques "avec
regrets" lorsque son mari est élu en 1932, mais signe des éditoriaux dans
Women's Democratic News, raconte-t-elle. "Elle prend fait et cause contre la
discrimination, encourage les femmes à s'affirmer", relate Valérie Trierweiler.
Trierweiler va continuer d'écrire des articles
culturels
La First Lady "accepte même le poste de rédactrice en chef
dans un magazine féminin avant de se voir confier une chronique qui changera le
cours de sa vie. Chaque jour, elle remet son texte intitulé My day dans lequel
elle raconte sa vie à la Maison-Blanche", écrit Valérie
Trierweiler. "Elle ne s'interdit d'y aborder aucun sujet, ni
social, ni politique, ni même international surtout à la veille de la Seconde
Guerre mondiale", souligne la journaliste. "Non seulement l'ensemble de
la presse américaine n'y voit pas matière à polémique, mais au contraire,
Eleanor devient, grâce à cette chronique qu'elle tiendra jusqu'à sa mort,
extrêmement populaire", note Valérie Trierweiler
dans son article. Evidemment, on discerne entre les lignes, un portrait en
creux d'elle-même. "Un livre qui devrait passionner les journalistes
français, et pas seulement...", conclut-elle.
Valérie Trierweiler, qui écrit dans l'hebdomadaire Paris Match depuis 22 ans, a voulu rester journaliste, malgré son statut de compagne du président de la République. Elle continuera donc à écrire des articles culturels
Valérie Trierweiler, qui écrit dans l'hebdomadaire Paris Match depuis 22 ans, a voulu rester journaliste, malgré son statut de compagne du président de la République. Elle continuera donc à écrire des articles culturels
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