C’est l’histoire de deux femmes. Une histoire banale que des milliers d’autres Françaises ont pu vivre un jour. Une histoire d’amour qui prend fin, une autre qui commence… avec le même homme. Des crispations inévitables. Ségolène Royal, Valérie Trierweiler… François Hollande. L’impossible triangle. Des itinéraires intimes qui se croisent, «une jalousie privée qui complique les rapports politiques», précise L’Express. Les tensions entre les deux femmes électrisent la place publique. Ainsi, Ségolène Royal n’a pas du tout apprécié d’être absente du film de présentation du candidat Hollande, lors de son meeting au Bourget, au printemps dernier. Mère de ses quatre enfants, n’avait-elle pas, elle aussi, porté les couleurs socialistes à la présidentielle de 2007? Elle n’a pas aimé non plus que Valérie Trierweiler prenne l’initiative, sans crier gare, de venir lui serrer la main devant les photographes, le jour du grand rassemblement de Rennes, le 4 avril. La scénographie de ce passage de flambeau entre deux prétendants PS à l’Elysée, voulu comme un moment médiatique fort, avait pourtant été millimétrée au détail près par le candidat socialiste et son ex-compagne. Le geste de la future première dame avait d’autant plus froissé Ségolène Royal que les deux femmes évitent généralement de se croiser. Enfin, si elle a su dépasser cet enchevêtrement politico-privé, la présidente de la région Poitou-Charentes a goûté modérément le fait de ne pas être invitée à l’Elysée lors de la cérémonie de passation de pouvoirs, le 15 mai. «Nous avons eu une vie commune très longue. Cela m’aurait fait plaisir d’être là…», a-t-elle concédé sur BFMTV-RMC, après avoir juré qu’elle n’y était pas allée de sa propre initiative. Bien avant que François Hollande n’ébauche son gouvernement, Ségolène (...)
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