Elle n'aura pas été une potiche depuis l'investiture de François Hollande le 15 mai dernier, mais depuis son erreur "tweetienne", Valérie Trierweiler se fait toute petite, au point qu'on en oublierait presque qu'elle est là.
Elle a tweeté 135 caractères de trop et Ségolène Royal lui a fait payer le prix fort en se montrant plus louve que jamais en rappelant à tous que sa meute avait été "bousillée" lors de sa séparation avec François Hollande -qui a quitté le nid pour Valérie Trierweiler.Depuis cet emballage médiatique sur sa vie privée, et ses regrets, Valérie Trierweiler n'a pas tweeté mot, n'a pas assisté au G20 au Mexique, et n'a fait qu'une rapide apparition au bras bien tenu de Mélissa Theuriau lors de son exposition en soutien à Florence Cassez. Bref, la "first girlfriend" s'en tient parfaitement aux consignes de Jean-Marc Ayrault, soit, avoir "un rôle discret".
Tellement discret qu'elle se transformerait presque en ce qu'elle redoutait le plus, une belle plante verte. En effet, hier, Valérie Trierweiler a tenu à merveille son "non rôle" lors de la visite officielle et hyper-médiatisée au palais présidentiel de l'opposante birmane Aung San Suu Kyi. Pas un cliché de la première dame aux côtés de la prix Nobel de la paix de 1991, Valérie Trierweiler où le nouveau fantôme de l'Elysée.
Si la Première Dame tente de se racheter une conduite auprès de l'opinion publique, c'est également auprès de François Hollande que Valérie essaie de redorer son blason. Furieux du tweet de sa compagne, le président de la République doit jongler avec toutes les femmes de sa vie. Un exercice qu'il n'avait certainement pas prévu d'épingler sur son programme.
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