vendredi 16 janvier 2015

En détresse financière, Linda de Suza lance un appel à l’aide

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Prise à la gorge, l’artiste portugaise Linda de Suza vient de lancer un SOS à la radio. La chanteuse aux vingt millions d’albums vendus n’a plus d’argent.

Linda de Suza est intervenue ce matin dans la matinale de RTL. Prise à la gorge par les banques et acculée par l’administration française, l’artiste portugaise ne sait plus comment s’en sortir : « Je suis arrivée en France en 1970. Et de 70 à 78, j’étais femme de chambre. J’ai cotisé. Après je deviens artiste. Et voilà que les flics et les renseignements généraux me disent que je ne suis arrivée en France qu’en 1979, en me donnant un nouveau numéro de séjour, et disant qu’à cette période, j’exerçais une profession libérale. »
Un désaccord qui plonge l’interprète de La valise en carton dans un terrible désarroi. Ne bénéficiant que de 400 euros de retraite par mois pour vivre, la chanteuse se dit prise à la gorge : « Je n’ai rien. Je ne possède rien (elle loue une modeste maison dans un hameau près de Gisors, dans l’Eure et dit ne posséder qu’une vieille Mercedes en bout de course ndlr). J’ai vendu des millions de livres, des millions de disques. Et puis je n’ai rien. Je n’ai même pas de quoi acheter à manger pour mon fils. »
Ça n’est qu’en mars dernier que Linda de Suza avait repris contact avec son fils, Joao, après près de vingt ans de brouilles. Des retrouvailles que l’artiste commentait, à l’époque dans France Dimanche : « Être éloi­gnée de lui, ça m’a détruite. Nous n’étions pas fâchés. C’est juste qu’on nous a montés l’un contre l’autre pour une sombre histoire de gros sous. En fait, je crois qu’on s’est tous les deux fait avoir par la “mafia”… Oui, je dis bien la “mafia” ! » Alors à bord d’une croisière Age tendre et tête de bois, la chanteuse avait profité d’une escale à Lisbonne pour renouer avec Joao. A l’époque, au sortir de ce moment poignant, l’artiste avait dit : « Je veux récupérer mes millions d’Euros envolés. Et transmettre cet héritage à mon fils. » Un doux rêve qui, visiblement, ne s’est jamais (...) Lire la suite sur voici.fr

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