mercredi 20 juin 2012

Valérie Trierweiler fait son mea culpa

Très discrète depuis l’affaire du "tweetgate", Valérie Trierweiler brille actuellement par son absence au Mexique au sommet du G 20. Le Parisien a enquêté pour savoir dans quel état d’esprit se trouvait la journaliste.
"J’ai commis une erreur". C’est ce qu’aurait confié la première dame à l'une de ses amies. Une semaine après son tweet de soutien à Olivier Falorni, (l’adversaire de Ségolène Royal à La Rochelle), Valérie Trierweiler semble regretter les répercussions de ces cent trente-cinq signes tapotés sur son smartphone. "Elle n’a pas bien calculé les conséquences que son tweet aurait sur l’autorité du chef de l’Etat, sur le PS, sur ses enfants et ceux de François Hollande", témoigne un ami auprès du Parisien. "Le tweet n’a pas eu d’incidence sur le score final à La Rochelle. Au plan national, le PS a obtenu la majorité absolue et n’a pas perdu quarante sièges, comme le prédisaient certains observateurs. Mais Valérie est quand même anéantie. Elle s’en veut d’avoir donné une image négative", poursuit cette source. Le Parisien qui précise que "l’explication avec François Hollande a été orageuse. Il était furieux, aurait même confié un de ses proches. Il est clair que cela ne pourra pas se reproduire." Il ne faut néanmoins pas voir de lien de cause à effet entre l’absence de Valérie Trierweiler au G20 et le fameux tweet, à en croire le Parisien. "Si la première dame n’est pas au Mexique, c’est tout simplement qu’elle avait prévu, bien avant le tweetgate, de rester aux côtés de ses deux enfants qui passent leur bac cette semaine. Ses proches l’assurent, il n’a d’ailleurs jamais été question qu’elle se rende à Los Cabos", avance le Parisien. Avant que François Hollande ne s’envole pour le Mexique, le couple a d’ailleurs été vu deux fois ensemble le week-end dernier, selon nos informations. Vendredi 16 juin, ils ont dîné en amoureux dans un restaurant du huitième arrondissement de Paris et samedi 17, ils sont allés discrètement au vernissage des oeuvres de Florence (...)
Lire la suite sur gala.fr

Aucun commentaire: