mardi 26 juin 2012

Clémentine Célarié évoque l’homme qui s’est suicidé pour elle

C’est un drame qu’a vécu Clémentine Célarié il y a six mois : l’homme qu’elle aimait s’est suicidé de peur qu’elle le quitte. Aujourd’hui entre colère et incompréhension, elle tente de se relever.
« Il y a un homme avec lequel vous vivez pendant un an… et puis les choses se compliquent et puis il se supprime, brutalement. » Voilà comment Clémentine Célarié résume lors d’une interview accordée à 7 à 8, l’émission de TF1, la tragédie qui l’a frappée de plein fouet au début de cette année.
La comédienne vivait alors une histoire d’amour compliquée avec un scénographe. « Moi qui suis très possessive, confie-t-elle, je rencontre quelqu’un qui l’est beaucoup plus que moi. Il m’accaparait, il ne me voulait que pour lui. Je pense qu’on était en train de se détruire, de se dévorer. » Clémentine lui propose alors une pause dans leur histoire afin qu’ils réfléchissent chacun de leur côté : « Je le suppliais qu’on trouve un moyen… J’étouffais. Je disais à cet homme : "Je t’aime, mais je pense qu’on est en train de se foutre en l’air, de se détruire". »
Son amant ne supportera pas l’idée de la perdre. Le 30 janvier, c’est un des fils de Clémentine qui le retrouvera pendu au domicile de l’actrice. « Aujourd’hui encore je ne réalise pas ce qui s’est passé. Je ne peux pas croire que ça s’est passé, confie Clémentine. Je ne peux pas croire qu’on ait eu à traverser ça avec mes enfants, ses parents, sa famille, sa maman. Je ne comprends pas et je ne l’accepte pas. »
Au delà de l’incompréhension, il y a la colère : « Petit à petit je vais aller vers la compassion pour cet homme que j’ai aimé. Pour l’instant, je suis en colère car quand quelqu’un se donne la mort, je pense qu’il donne la mort à tous ceux qui l’aiment. »

Quand le journaliste demande à la comédienne si elle aime encore cet homme, sa réponse est sans appel : « Non ! Non, je ne peux pas l’aimer. C’est un abandon pour moi. C’est horrible peut être de dire ça mais je ne l’ai pas abandonné, il m’a (...)
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