mercredi 25 mars 2015
vendredi 6 mars 2015
Michel Galabru annule sa présence à un festival pour des raisons de santé
Le comédien, 92 ans, devait participer à un festival de théâtre à Cannes fin avril. Des problèmes de santé l'ont contraint d'annuler sa participation.
Michel Galabru est l'un des doyens des acteurs français. A 92 ans, il ne semble pas vouloir prendre sa retraite et apparaît toujours fringuant sur scène. Néanmoins, il vient d'être contraint d'annuler sa présence à la 35e édition du festival Performance d'acteur, qui aura lieu à Cannes la dernière semaine du mois d'avril. Selon Nice-Matin, des problèmes de santé sont à l'origine de cette défection.
Michel Galabru devait se produire le premier jour du festival en jouant les trois plus célèbres Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet revisitées par Marcel Pagnol. Le comédien, à l'appétit de la scène toujours intact, avait déjà donné ce spectacle au Théâtre Saint-Georges à Paris en 2013. A cette occasion, cet admirateur de Sacha Guitry avait accordé un entretien à TF1 (à voir ci-dessous) dans lequel il déclarait que lorsqu'il était jeune, à l'école, il faisait rire ses camarades, alors que lui souhaitant avant tout ne pas faire rire.
Michel Galabru devait se produire le premier jour du festival en jouant les trois plus célèbres Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet revisitées par Marcel Pagnol. Le comédien, à l'appétit de la scène toujours intact, avait déjà donné ce spectacle au Théâtre Saint-Georges à Paris en 2013. A cette occasion, cet admirateur de Sacha Guitry avait accordé un entretien à TF1 (à voir ci-dessous) dans lequel il déclarait que lorsqu'il était jeune, à l'école, il faisait rire ses camarades, alors que lui souhaitant avant tout ne pas faire rire.
On se souvient qu'au mois d'août dernier Michel Galabru avait dû être hospitalisé en raison de douleurs au dos.
jeudi 5 mars 2015
D’après Julie Gayet, François Hollande est son «fiancé»
Si François Hollande a une nouvelle fois rejeté l’idée d’une officialisation de sa relation avec Julie Gayet, lundi dernier face aux lecteurs du Parisien, l’actrice semble de son côté plutôt à l’aise sur la question. Dans le dernier numéro de So Film, JoeyStarr revient en effet sur son invitation à dîner à l’Elysée il y a plusieurs semaines et fait une étonnante révélation au sujet de la comédienne et du président de la République.
JoeyStarr précise s’être rendu à l’Elysée en tant que citoyen : « Je paye des impôts et je veux voir ce qui se passe. C'est de la curiosité. »
En revanche, le rappeur n’assouvit pas celle de nombreux Français qui auraient aimé plus de détails sur ce fameux dîner et la relation entre le chef de l’Etat et Julie Gayet !
http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/05/2060893-d-apres-julie-gayet-francois-hollande-est-son-fiance.html
lundi 2 mars 2015
Sortie de l'album d'hommage à Jean Ferrat avec Cali
Ces album de reprises intitulé "Des airs de liberté" (Columbia/Sony) réunit une quinzaine d'artistes à l'initiative d'un fan de toujours, Marc Lavoine, cinq ans après la disparition de Ferrat qui, pendant 50 ans, a chanté l'idéal communiste, la fraternité et l'amour et dénoncé la misère humaine. Cali y reprend "La montagne". Dans la play-list l'on retrouve aussi Julien Doré, Raphael, Benjamin Biolay & Catherine Deneuve ou Patrick Bruel.
Héritiers à leur façon de Ferrat, les rappeurs sont toutefois absents de son album-hommage. L'interprète de "La Montagne" n'était pas, il est vrai, un grand amateur de ce style, selon son producteur historique Gérard Meys. "Aujourd'hui, les rappeurs balancent des choses souvent intéressantes", remarque toutefois Cali, l'un des rares chanteurs militants de la scène actuelle. Celui qui s'était rangé aux côtés de Ségolène Royal en 2007 s'interroge d'ailleurs sur l'engagement politique dans "Le coeur chargé comme un fusil", titre figurant dans son nouvel album à paraître le 9 mars.
http://www.lindependant.fr/2015/03/02/sortie-de-l-album-d-hommage-a-jean-ferrat-avec-cali,1998118.php
dimanche 1 mars 2015
4 Ans séjà sans ANNIE GIRARDOT : HOMMAGE (28 février 2011)
Malgré cela, la comédienne continue à jouer au théâtre : de 2001 à 2003, elle reprend la pièce Madame Marguerite à Paris et en tournée, et, pour pallier les éventuels trous de mémoire, elle est équipée d'une oreillette destinée à lui souffler son texte. C'est avec ce même procédé qu'elle continuera à participer au tournage de plusieurs films comme Je préfère qu'on reste amis... (2005), où elle interprète - ironie du sort - une femme atteinte de la maladie d'Alzheimer. Les rôles sont plus courts et adaptés (peu de scènes physiques), mais les réalisateurs sont conciliants. La comédienne « revit » lorsqu'elle est sur un plateau de tournage et, le temps d'une scène, la maladie s'efface. Ainsi Richard Bohringer (C'est beau une ville la nuit) et Jane Birkin (Boxes) font appel à elle pour de petits rôles.
Son dernier rôle sera celui d'une ancienne journaliste française dans une mini-série policière russe intitulée Vorotily. Depuis les années 1960, Annie Girardot est en effet une des actrices françaises les plus appréciées en Russie et plusieurs réalisateurs russes avaient fait appel à elle, comme Sergueï Guerassimov dans Le Journaliste en 1967, ou encore Valery Akhadov, qui la fera tourner à plusieurs reprises pour la télévision russe entre 1989 et 2003.
En 2007, sa fille Giulia Salvatori publie, avec le journaliste Jean-Michel Caradec'h, une biographie intitulée La Mémoire de ma mère (éditions Michel Lafon (ISBN 978-2749906478)), où elle consigne les souvenirs de sa mère.
À partir de 2008, Annie Girardot vit dans une maison médicalisée de Paris. Le 21 septembre 2008, TF1 diffuse Annie Girardot : Ainsi va la vie, un film documentaire de Nicolas Baulieu filmant huit mois de sa vie, avec Claire Keim en voix off. On y découvre sa vision du passé et les effets de la maladie.
En 2010, dans une déclaration médiatique dans le cadre de la journée mondiale contre la maladie d’Alzheimer[12], sa fille déclare qu'Annie Girardot ne se souvient plus avoir été actrice, en raison de la maladie dont elle souffre et ajoute : « Si j’ai un message à faire passer, c’est de ne plus essayer de rencontrer Annie Girardot, d’avoir une dernière photo...Si vous avez aimé maman, surtout, il faut lui foutre la paix, garder d’elle une belle image[2]. »
Après avoir joué dans cent vingt-deux films, cinquante-quatre téléfilms et trente et une pièces de théâtre, Annie Girardot meurt le 28 février 2011 à l'hôpital Lariboisière de Paris. Ses obsèques sont célébrées le 4 mars 2011 en l'église Saint-Roch, la paroisse parisienne des artistes. Parmi les personnes présentes, outre sa fille Giulia, sa petite-fille Lola et son petit-fils Renato, on compte Jean-Paul Belmondo, Catherine Samie, Line Renaud, Claude Lelouch, Jane Birkin, Jean-Pierre Marielle, Alain Delon, Mireille Darc, Agathe Natanson, Jack Lang, Frédéric Mitterrand, Gérard Darmon, Jean-Paul Rouve, Daniel Duval, Bertrand Blier, Évelyne Bouix, Brigitte Fossey, Elisa Servier, Smaïn, Raphaël Mezrahi, Patrick Préjean, Bernard Menez, Danièle Évenou, Costa-Gavras, Yves Boisset, Catherine Lachens, Catherine Lara, Andréa Ferréol, Marthe Mercadier, Massimo Gargia, Laurent Malet, Dani, Marie-Laure Augry, etc. Le chanteur Hervé Vilard a fait déposer une gerbe de fleurs, de même qu'Isabelle Adjani (qu'elle dédie à sa « maman-cinéma inoubliable »)[13],[14].
De certaines de ces personnalités, son petit-fils dira sans les nommer : « Dès qu'on a annoncé son décès, il y a eu une foule de personnes du cinéma qui sont remontées, dont on n'a jamais eu de nouvelles jusqu'à maintenant et qui, aujourd'hui, viennent témoigner alors qu'on ne les a jamais vues, parce que le cinéma français l'a oubliée. » Brigitte Bardot et le journaliste Henry-Jean Servat auront la même réaction : « Jamais on n'a célébré Annie Girardot ! […] On l'a laissée crever ! »[15]
Elle est inhumée au cimetière du Père-Lachaise, 49e division (avenue Feuillant) dans le 20earrondissement de Paris.
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